Biotechnoenergie©

Technologies




L’espace cultivable


Il est possible de libérer des jachères pour cultiver ces plantes. C’est une solution qui ne répond pas à la demande. Dans certains pays on pourrait même voir survenir des catastrophes, en favorisant la production énergétique à la production alimentaire.


Il paraît donc souhaitable de produire dans des zones considérées non cultivables à l’heure actuelle.


Les principaux endroits baignés de soleil où les plantes poussent bien, quand elles ont de l’eau, sont les zones tropicales. En excluant les zones déjà cultivées et les zones ou se trouvent la foret vierge, que l’on se doit de respecter comme source de biodiversité. Il ne reste plus que les zones désertiques.



Technologies désertiques ; dessalement et biogaz


Dans les domaines du dessalement de l’eau les meilleures techniques dessalent 1 m3 d’eau avec 2.5 kWh soit 1 litre d’essence. Ce sont des systèmes multi-étage, qui distillent de l'eau grâce à une turbine qui en créant une dépression fait évaporer l'eau.


Les digesteurs sont composés principalement d'une cuve de plusieurs centaines de m3 à quelques millier de m3. Dans cette cuve il y a des micro-organismes qui en l'absence d'oxygène transforment la matière organique en CO2 et méthane ; le biogaz.

Les digesteurs de biomasse, peuvent produire l’équivalent d’un litre d’essence, avec 2 kg de matière organique.


On peut donc installer dans les zones côtières désertiques, des unités de dessalement de l’eau couplé à un digesteur qui produit du biogaz.


Le tournesol produit des graines composé de 30% d'huile utilisable comme carburant, et 60% de tourteaux qui peut être transformés en biogaz avec un digesteur. Une partie de ce biogaz sert à produire l'eau ; l’eau servant à l’irrigation des champs de tournesol. L'autre peut être transformé en biométhanol servant de substitue à l'essence.



Autres technologies :


Les technologies qui sont possibles pour arriver l'autonomies énergétique de la planète, lutter contre l'effet de serre, sont assez limitées :

  • Le nucléaire

  • Fusion ou fission ces solutions ne sont pas durables. Dans la mesure ou la ressource envisager a plus ou moins long terme s'épuise, même si pour le fission cela peut parait très lointain, le problème engendré par ces technologies, outre le fait de sceller définitivement l'impuissance des hommes à utiliser l'énergie solaire, est d'ordre géopolitique, puisque le nucléaire est perçu, à juste raison, comme une technologie neo-impérialiste par de nombreux pays. emergents.


  • Le solaire photovoltaïques direct.

  • Comme l'd'électricité ne peut être stocké l'idée est de produire de l'hydrogène par électrolyse de l'eau, le principe fonctionne, mais les coût de production sont important, ensuite la fabrication des panneaux solaire demande beaucoup d'énergie, et il semblerais que des pollutions soit engendré par leur fabrication. Il faudrait faire des études plus poussé pour comparé l'efficacités de ces systèmes avec biotechnoneergie, Sachant que le biométhane peut être aussi reformé en hydrogène.
    L'inconvénient important c'est qu'il n'y a pas d'effet climatique ou de captage de co2, les panneaux photovoltaïques ne font pas augmenté l'hygrométrie dans l'air et on même tendance, de par la chaleur capté et non converti a faire augmenté ponctuellement la température de l'air.


  • Des pare-soleil dans l'espace.

  • Le principe est simple, envoyé en orbite basse des rouleaux très long et large de film réfléchissant très fin pour diminuer le flux solaire reçu par l'atmosphère terrestre.
    Il est difficile de prévoir l'impact réel que pourrait avoir ce genre de technologie notamment sur l'agriculture actuelle, Quand à voir le coût énergétique de fabrication de la mise en orbite de tels systèmes, C'est aussi une technologie perçu comme neo-impérialiste puisque réserver aux seuls pays disposant de lanceurs spatiaux.






 

Dernière modification : 15/02/2005, 12:08:23